Lyrics

Si un jour, le temps qui passe te terrasse et te rend folle La solitude, grotesque faille, un jour, il faudra qu'elle s'en aille. Sans les voiles devant tes yeux, tout te semble merveilleux. Tout nouveau, tout beau, tout chaud, un regard neuf regarde mieux. Mais dans l'abîme de ta conscience, tu sais qu'il te fait mal Tu veux changer d'idéal et si vraiment tu doutes, alors ose bouger. Et jette-le, prends un homme qui t'aime Et qui te veut, c'est plus facile quand on est deux. Et jette-le, prends un homme qui t'aime Et qui te veut, c'est plus facile quand on est deux. Si l'angoisse gonfle tes veines, dans l'ombre d'effroyables peines Et que ta raison défaille, dis-lui qu'il faut qu'il s'en aille. Oublie tout mais n'oublie rien, la fièvre tombe avec les liens. Sans l'amour que tu lui portes, il n'est plus qu'une âme morte Et dans l'abîme de ta colère, tu sens mourir tes guerres. Comme un orage éclaté, tu ferais aussi bien de te libérer. Et jette-le, prends un homme qui t'aime Et qui te veut, c'est plus facile quand on est deux. Et jette-le, prends un homme qui t'aime Et qui te veut, c'est plus facile quand on est deux.
Writer(s): Veronique Marie Line Sanson Lyrics powered by www.musixmatch.com
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