La vieille maison

Pour longtemps elle restera dans mon coeur La poussière n'efface rien d'elle Les murs tombent mais l'odeur douce d'hier Revient derrière chacun de mes pas Dans la fenêtre brisée par l'hiver Se reflètent les rêves qui m'ont amenée là Je t'assure que ma vie ne serait Pas la même si je ne l'avais pas Car derrière chaque pas et derrière chaque étape Il y a l'image de toi Mais à chaque coup dur et à chaque claque Je m'imagine allongée là Car derrière chaque pas et derrière chaque étape Il y a l'image de toi Mais à chaque coup dur et à chaque claque Je m'imagine allongée là Et quand j'y retourne, la lumière recouvre Les couleurs un peu ternes Ici rien n'a bougé, le temps reste figé Avant qu'on y revienne Et quand j'y retourne, la lumière recouvre Les couleurs un peu ternes Ici rien n'a bougé, le temps reste figé Avant qu'on y revienne J'avais pas vu le temps ternir Les couleurs du papier peint Si tu tends l'oreille tu entends siffler Ceux qui vivaient ici éteins Les lumières pour sentir la vieille Maison grincer sous les pas des morts Mais y'a pas de quoi être effrayé Je suis le seul fantôme qui rôde encore Car derrière chaque pas et derrière chaque étape Il y a l'image de toi Mais à chaque coup dur et à chaque claque Je m'imagine allongée là Et quand j'y retourne, la lumière recouvre Les couleurs un peu ternes Ici rien n'a bougé, le temps reste figé Avant qu'on y revienne Et quand j'y retourne, la lumière recouvre Les couleurs un peu ternes Ici rien n'a bougé, le temps reste figé Avant qu'on y revienne