Top Songs By Julien Clerc
Credits
PERFORMING ARTISTS
Julien Clerc
Lead Vocals
Pablo Gignoli
Bandoneon
Thomas Quinquenel
Bassoon
Laurent Vernerey
Double Bass
Adrien Bellom
Cello
Frederic Deville
Cello
Frédéric Kret
Cello
Mathilde Sternat
Cello
Anne-Sophie Lobbé
Clarinet
Jean-Baptiste Sagnier
Double Bass
Stanislas Kuchinski
Double Bass
Edouard Sabo
Flute
Nicolas Josa
French Horn
Denis Benarrosh
Percussion
Anne-Marie Gay
Oboe
Christophe Briquet
Orchestra
Thibault Mortegoute
Orchestra
Stéphane Chauveau
Percussion
cyrille nobilet
Piano
Roland Guillotel
Recorder
Romain Dambrine
Recorder
Cyrille Lacrouts
Cello
Mathias Lopez
Double Bass
Hugues Borsarello
Violin
Léa Hennino
Solo
Julien Lair
Trumpet
Anne-Elsa Tremoulet
Violin
Arnaud Vallin
Violin
Camille Borsarello
Violin
Camille Verhoeven
Violin
Clémence Dupuy
Violin
David Braccini
Violin
Doriane Gable
Violin
Julien Gaben
Violin
Laetitia Ringeval
Violin
Léa Vandenhelsken
Violin
Marie Leloup
Violin
Noémie Roubieu
Violin
Éléonore Denarié
Violin
COMPOSITION & LYRICS
Julien Clerc
Composer
Henry Jean-Marie Levet
Songwriter
Calogero
Arranger
Dominique Spagnolo
Orchestrator
PRODUCTION & ENGINEERING
Calogero
Producer
François Bonnet
Recording Engineer
Dave Eringa
Mixing Engineer
Romain Dambrine
Recording Engineer
Antoine Chabert
Mastering Engineer
Lyrics
Ni les attraits des plus aimables Argentines
Ni les courses à cheval dans la Pampa
N'ont le pouvoir de distraire de son spleen
Le Consul Général de France à La Plata
N'ont le pouvoir de distraire de son spleen
Le Consul Général de France à La Plata
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
On raconte tout bas l'histoire du pauvre homme
Sa vie fut traversée d'un fatal amour
Et il prit la funeste manie de l'opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Et il prit la funeste manie de l'opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Il ne s'aperçoit pas je n'en suis que trop sûr
Que Lolita Valdez le regarde en souriant
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d'Extrême-Orient
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d'Extrême-Orient
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Writer(s): Julien Clerc, Henri Jean-marie Levet
Lyrics powered by www.musixmatch.com